Rebonjour les Dangerous, pour essayer de combler les quelques amateurs et éventuellement intéresser les autres je vous propose une première présentation Rp, qui j'espère donnera lieu à des échanges.
Il vous est peut être arrivé de voir cette silhouette si vous passez vos soirées dans la cité de Brakmar, et plus exactement dans la taverne de Djaul, Djaul Jiaye pour être exact.
Mais si vous savez ! Ce gros bonhomme au regard vitreux incapable de rentrer son bide à bière dans son futal. Non ? Non ça vous dis rien... y'a jamais personne la bas de toute façon. Enfin si, y'a Ichassi, il paraît que c'est la fille de ce vieux Jiaye, mais rien à voir avec lui, elle sait tenir une conversation du moment que vous avez de quoi payer ! Mais je m'égare... Cette silhouette dont je parle c'est Meephy, un iop d'une trentaine d'années plein d'ambition qui, autrefois, a connu des moments de gloire, puis tout à prit fin, d'un seul coup.
Aujourd'hui ce n'est plus qu'une âme en peine, il erre, trainant sa carcasse ici et là jusqu'à s'écrouler de fatigue. Par chance, habitant une grande demeure juste à côté, il n'a pas à se donner en spectacle. Il manquerait plus que ça, que les gens rient en le voyant.
C'est peut être une histoire à l'eau de rose mais il a perdu la femme avec qui il partagé sa vie, je vous le raconte car lui ne le fera pas. Elle se nommait Toukki, une iop également, mais... Quelle Iop ! Il n'était pas grand chose à côté d'elle, un vagabond. Ils se sont rencontrés chez le cordonnier, l'un avait besoin de mains expertes, l'autre de clients pour faire tourner la boutique. Inutile de vous dire que les choses sont allées plus loin qu'une simple transaction. Pour les esprits malades il y avait beaucoup de romance et ils n'ont pas partagé le même lit tout de suite. Ce fut un déclic pour lui, il fallait charmer la belle, et n'étant pas un des grands guerriers de ce monde il devait pallier à son manque de puissance. C'est alors qu'il s'est lancé dans le commerce, celui de dragodinde et en parallèle il a fondé une guilde de commerçants appelée « Les Cons Sans Gain ».
Tout fonctionnait à merveille, son commerce et sa guilde fleurissaient, il pouvait tout offrir à sa belle, rien ne lui était impossible, son coffre débordait de pièces, des millions, que dis-je, des dizaines de millions de kamas dormaient dans sa demeure. Tout allait bien jusqu'à ce jour. Ce jour où on lui annonça la disparition de sa femme, 8 mois jour pour jour après leur mariage.
Pour faire court, il a tout mit en œuvre pour la retrouver, ce qui lui couta sa fortune, sa guilde, un an de sa vie et son commerce s'arrêta par manque de temps. Quand il a retrouvé ce dernier, c'était un vrai carnage. Sur son empire de 380 têtes, il n'en restait plus qu'une centaine. Il était le principal fournisseur de Bonta et Brakmar. Aujourd'hui il ne reste que les plus robustes, une quarantaine de camélonnes en âge de se reproduire et d'une lignée parfaite. Mais c'est tout ce qu'il lui reste. Pour terminer il boit sans modération, la personne qu'il voit le plus c'est ce vieux Jiaye et il est pas bavard.
Déconnes pas, tu peux bien m'payer le dernier ! T'oublies un peu vite que sans moi, tout ça, *gesticulant dans tout les sens* tu l'aurais plus mon p'tit père ! J'représente ton fond de commerce à moi tout seul !
J'peux pas, j'ai des comptes à rendre et tu l'sais bien, alors calme toi mon pote. C'est l'heure, tu payes et tu rentres. Tu veux que j'demande a Ichassi de t'ramener ?
*Il jette un œil dans sa bourse puis relève la tête, l'air hagard* Nan, j'ai pas d'quoi pour l'ramen.. le . Le ramenage ? *Hausse un sourcil, pas sûr de lui* Le ramènement ? Rhooo aide moi bordel ! … Prends tes sous, voilà ! J'me casse, quelle hospitalité ! *à voix basse* raclure.
Une fois n'est pas coutume, il traina lourdement son corps jusqu'à chez lui. Avec courage il rassembla son énergie pour ouvrir la porte et s'écrouler. Dans un dernier effort il ferma la porte d'un geste du pied.
Au réveil il se sentait comme une cloche un jour de messe, sa tête faisant office de caisse de résonance. Il se redressa au son de ses os qui craquèrent en rythme. Le visage particulièrement engourdit et la vue obstrué, il décolla une lettre de son visage. C'est ça de dormir n'importe où...
Il sagit d'une lettre de Masterofronce, certainement la réponse à sa candidature écrite l'avant veille.
( Pardonnez moi si il y a des fautes, habituellement madame m'aide à la correction mais j'ai du faire sans héhé.
Je continuerai cette histoire, si vous le voulez bien, après que Masterofronce aura bossé un peu.
Hooo grand maitre des dangerous, berger parmi les moutons, rédige moi cette lettre, sinon cette histoire ce termine là.
C'est une menace ? Chantage ? Alors que je suis même pas encore dans la guilde. Tain le saligo !
Ne sachant pas où le mettre, vue que je ne suis pas encore membre je l'ai posé ici, en espérant que ça ne dérange pas. )
Sujet: L'on ne peut lutter contre le peuple, surtout si il est Dangerous ! 
Dim 9 Fév - 18:47
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